LA PROTÉOMIQUE DÉMASQUE LE VIRUS COMPLICE DE LA GUÊPE PARASITE
Ou comment la protéomique, combinée à une analyse génomique, a permis de mettre en évidence un nouveau subterfuge de guêpe parasite : la guêpe suspecte, "Venturia canescens", a intégré dans son génome de l'ADN de virus (type : nudivirus) lui permettant ainsi de contrer les défenses immunitaires des chenilles hôtes de ses larves !
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